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Gabon| jugé budgétivore, le Haut-Commissariat de la République a été dissout deux après sa création

Ayant pour ambition de réduire le train de vie de l’Etat, le Comité de la transition et la restauration des institutions a mis fin, le lundi 23 octobre, à l’existence du Haut-Commissariat de la République. L’entité rattachée à la présidence de la République était dirigée par Michel Essongue et composée de plusieurs dignitaires de la République.

 

Estelle Ondo et Jonathan Ignoumba, étaient les derniers à faire leur rentrée au Haut-Commissariat de la République. Si le dernier cité, a été nommé dans l’actuel gouvernement de transition, l’ex députée du deuxième arrondissement de la commune d’Oyem, dans la province du Woleu Ntem, n’a pas toujours eu de point de chute. Avec la fermeture du HCR, Estelle Ondo, Jean Eyeghe Ndong, Michel Essongue, Haut-commissaire général, Frédéric Massavala Maboumba et les autres, sont désormais au chômage.

En effet, dans le souci de réduire le train de vie de l’Etat et de permettre à celui-ci de faire des économies, le Comité de la transition et la restauration des institutions a mis fin tard dans la nuit du lundi 23 octobre aux missions du Haut-Commissariat de la République. L’entité créée il y a deux ans et directement rattachée à la présidence de la République avait pour missions ; l’évaluation, le suivi et la mise en œuvre de l’action politique du chef de l’État en vue de l’amélioration des conditions de vie des Gabonais. Le HCR rendait  compte ses missions directement au président de la République .

Depuis sa création en 2021, le Haut-commissariat de la République était dirigé par Michel Essongue et  composé de plusieurs dignitaires de la République.

Dans l’opinion, son rôle était flou et le traitement des membres était jugé budgétivore, avec des voitures full option et des gros salaires.

 

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