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Présidentielle 2023| Franck Nguema lance un comité de soutien pour la réélection d’Ali Bongo

A moins de deux ans  des élections générales, dont la plus importante est la présidentielle, Franck Nguema, député du premier arrondissement de la commune d’Akanda et soutien politique d’Ali Bongo, a annoncé le samedi 30 avril, à son quartier général, à Avorbam, la création d’un comité de soutien pour la réélection de l’actuel Chef de l’Etat gabonais. Selon Franck Nguema, Ali Bongo répond parfaitement bien  à la notion d’homme d’Etat,  et par conséquent, son choix doit être celui de la raison et non de l’émotion.

Après le PDG, le parti au pouvoir et d’autres personnalités politiques qui ont appelé à la candidature d’Ali Bongo à la prochaine élection présidentielle, Franck Nguema, député à la commune d’Akanda, a annoncé la création d’un comité de soutien pour la réélection  de l’actuel chef de l’Etat. C’était le 30 avril, à

son Quartier général à Avorbam.  Il s’agit d’un centre d’union « loin de toutes les étiquettes partisanes, désireux de dépasser tous les clivages

traditionnels, pour soutenir Ali Bongo.  « Notre Centre d’Union est une «action citoyenne» avec pour initiative de dire au président Ali Bongo Ondimba que nous souhaitons avec Force et Vigueur sa réélection en 2023 par tous les moyens démocratiques, en mettant un trait d’union entre les populations et lui », a indiqué l’initiateur du projet.

C’est en se rappelant des différents soubresauts qui ont émaillé les différentes élections au Gabon, depuis le retour au multipartisme, que Franck Nguema a lancé cette initiative. « Les jeunes générations doivent savoir que le Gabon a vécu jusqu’en 1968 une période marquée par le pluralisme politique, qui malheureusement n’a pas prospéré du fait des vives tensions ethniques qui mettait en mal l’unité nationale de notre jeune Nation. C’est ainsi que feu Président Omar Bongo Ondimba créa un vaste rassemblement politique unique, pour fédérer l’ensemble des Gabonaises et des Gabonais afin de préserver l’unité nationale, tout en laissant libre court au débat politique dans le Dialogue, la Tolérance, la Paix. Ainsi, fut créé le Parti Démocratique Gabonais(PDG), a rappelé l’orateur.

Estimant que 2023, est une année électorale « historique », car, elle doit abriter trois élections, la présidentielle, les législatives et les locales, pour le député du premier arrondissement de la commune d’Akanda, « les acteurs politiques, les membres de la société civile doivent donc y contribuer avec un grand esprit de responsabilité et de conscience citoyenne pour maintenir les équilibres de la paix et de la cohésion sociale, gage d’un développement durable du pays ».  Soulignant que  «c’est ce à quoi la jeune démocratie gabonaise attend de la classe politique et de la société civile de notre pays »

Parlant de la présidentielle de 2023, pour ce soutien d’Ali Bongo,  la marche du monde de plus en plus orientée par les grandes puissances, « oblige de disposer d’un «Chef d’Etat écouté du monde et à l’écoute du monde», c’est cela véritablement l’Homme d’Etat. Le Président Ali Bongo Ondimba, répond parfaitement à ces critères ». C’est pourquoi, a-t-il souligné, Ali Bongo doit être le « choix de la raison et non de l’émotion ».

« L’émotion, qui est mauvaise conseillère, des cris d’orfraie qui pourraient venir, ici et là,  me contentant mes chers concitoyens de vous exposer ma Raison ».

« Dans l’exercice de mes fonctions ministérielles, j’ai eu le privilège de découvrir un Homme d’Etat:- Très soucieux de l’amélioration de la vie quotidienne des Gabonaises et des Gabonais,- Très exigeant sur la matérialisation, coûte que coûte, de son projet de société,- Très avant-gardiste dans les perspectives et les projections du Gabon pour des lendemains meilleurs ».

S’adressant aux jeunes, en sa qualité de ministre de la Jeunesse, Franck Nguema invite les jeunes  à s’éloigner de toute forme de violence.  Car, a-t-il souligné, « le Gabon est une grande famille, c’est le pays que Dieu vous  a donné, « vous n’avez pas un autre pays de rechange ». Notre pays, le Gabon, « il faut le garder en paix » comme l’ont fait les Pères fondateurs de notre Nation ».

 

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