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Franck Ping « la trahison nous en avons l’habitude, c’est devenu une marque de fabrique au Gabon »

Installé depuis 2016 en Côte d’Ivoire, juste après l’élection présidentielle de 2016, Franck Ping, un des fils du candidat malheureux de ce scrutin est revenu largement dans un entretien accordé à notre confrère Directinfos sur les soutiens de son père, qui ont claqué la porte pour rejoindre le camp du pouvoir. Pour l’homme d’affaires, il s’agit simplement des personnes prêtes à tout pour ne pas perdre les avantages que confèrent les arcanes du pouvoir.

 

Connu dans le milieu des affaires, Franck Ping qui s’est totalement installé dans le pays de sa mère, la Côte d’Ivoire, depuis la dernière élection présidentielle de 2016, a fait parler de lui dans une ghostwier interview exclusive qu’il a accordée au média en ligne Directinfos.

 A un peu plus d’un an de la prochaine élection présidentielle, le fils de l’ancien candidat unique de l’opposition pense que la « formule mathématique gagnante » présentée par son géniteur, en 2016, est la meilleure pour l’opposition.

« Cette formule repose sur une fédération « réelle » de tous les partis d’opposition face au rouleau compresseur ghostwriter agenturen qu’incarne le Pouvoir. Le seul moyen de remporter ce scrutin sera de soutenir une candidature unique de l’opposition. Sans fédération, l’échec est garanti ».

Fière de la posture adoptée par son père depuis la dernière présidentielle, « né avec les manches retroussées masterarbeit schreiben lassen, prêt à se battre pour que les intérêts de son peuple soient défendus », Franck Ping s’offusque de l’attitude des personnalités ayant claqué la porte de l’opposition pour se retrouver dans le camp du pouvoir. « Chez nous, les vestes ne se retournent pas, la doublure n’est pas en option ! ». « Les convictions au Gabon se monnaient pour quelques millions de francs cfa.  Il manque au Gabon des hommes politiques de conviction. Il manque au Gabon Seminararbeit schreiben lassen des hommes braves. Il manque à ce pays des hommes qui n’ont pas peur de perdre leurs privilèges ».

 Bien évidemment, cette analyse se fonde sur le départ de Jean Eyeghe Ndong, soutien de taille de l’ancien président de la commission de l’Union Africaine, aujourd’hui du côté du pouvoir. « Il y a des hommes qui prêchent Dieu au réveil et louent le diable avant de se coucher. « ». J’ai cessé de dénombrer tous ceux qui ne connaissent pas la honte dans ce pays. Le parfum de la trahison et le goût du déshonneur font partie du jeu politique depuis que Rome est Rome. Sauf qu’au Gabon, l’hypocrisie est telle que la plupart d’entre eux ne font même plus semblant d’être sincères ».

Au sujet de son retour au Gabon, « Je ne monnaierai jamais mes convictions, et mon retour au Gabon ne saurait être conditionné par une quelconque transaction monétaire. « » « la trahison nous en ghostwriter preise avons l’habitude, c’est devenu une marque de fabrique au Gabon », a constaté Franck Ping.

 

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