Les activités aéronautiques ont connu une suspension temporaire le 25 juillet dernier, occasionnant au sein de l’opinion des questionnements sur les raisons de cette situation préjudiciable pour les compagnies aériennes et les voyageurs.
Avec célérité, dans son rôle exclusif de coordination et de mise en œuvre des mesures de sûreté et facilitation aux aéroports ouverts à la circulation aérienne publique au Gabon, l’Office national de sûreté et facilitation des aéroports du Gabon (Onsfag), à travers un communiqué sous le timbre de son directeur général, le Général Sylvain-Florient Pangou Mbembo, a rassuré l’opinion en la situant sur les causes de la perturbation d’activités aéronautiques déplorée sur la plateforme aéroportuaire de Libreville.
Le communiqué de l’Onsfag faisant état des effets collatéraux découlant d’une panne d’électricité dans la zone nord de Libreville, survenue dans la nuit du 24 au 25 juillet en cours, aux environs de 23h30minutes. Coupure d’électricité qui a impacté le fonctionnement des installations aéronautiques de l’aéroport. Puis, les équipes techniques habilitées, déployées en vue de remédier à la situation, ont travaillé d’arrache-pied pour rétablir le courant. Toute chose devant permettre la reprise rapide des activités aéronautiques restées en berne.
Sur le pied de guerre durant cette perturbation, la cellule de crise de l’aéroport international Léon Mba en tête de laquelle l’Onsfag, a mis en mouvement le dispositif requis en pareille situation, afin de s’assurer de la sécurité des installations aéroportuaires, en plus d’un suivi appuyé pour la reprise rapide de l’activité aéronautique. Dans l’opinion, la célérité et la qualité de la communication de l’Onsfag ont été saluées. Probablement, l’interruption des liaisons aériennes vers l’aéroport de Libreville durant cette interruption temporaire d’activités, a contraint les vols en dégagement dans d’autres aéroports.
Source: service communication Onsfag.
