Alors que dans la presse, il a été fait état d’une bouderie de René Ndemezo’Obiang, qui envisagerait de quitter le PDG à nouveau, les anciens cadres de l’ex Démocratie Nouvelle ont tenu à démentir ces informations. C’était le week-end écoulé dans la commune d’Akanda. Ils en ont profité pour réaffirmer leurs soutiens au chef de l’exécutif, Ali Bongo.
René Ndemezo’Obiang ne ré-démissionnera pas du PDG. C’est en tout cas, cette position qu’ont tenu à réaffirmer les anciens cadres de Démocratie Nouvelle. Le parti de René Ndemezo’o Obiang, ayant fait une fusion-absorption au PDG. C’est dans le cadre d’une déclaration le week-end écoulé et lue par Jonathan Ndoutoume Ngome. Pour ces Pédégistes redevenus, pour la plupart, l’opération fusion-absorption n’a jamais été mise en cause.
Pour ce faire, « la prétendue démission de Ndemezo’Obiang, il ne s’agit que des ragots d’allégations mensongères et fallacieuses destinés à détériorer le lien désormais établi entre le chef de l’État et M. Ndemezo’Obiang ». Selon Ndoutoume Ngome, une telle opération est irréversible. D’ailleurs, c’est dans le cadre d’un congrès qui se tiendra d’ici peu, que « DN sera dissoute juridique ».
Après cette fameuse démission prêtée à l’ex premier-secrétaire de DN, faut-il le rappeler, une lettre à adresser à Ali Bongo, dont l’auteur n’est autre que René Ndemezo Obiang est devenue virale sur la toile. Dans laquelle, l’actuel président du Conseil économique, social et environnemental, sollicitait le poste de vice-présidence de la République. Depuis cette publication, le fils de Bitam est traité de tous les noms d’oiseaux. Mais pour Jonathan Ndoutoume Ngome, « tout citoyen a pleinement le droit de solliciter l’exercice de la fonction qui sied à ses ambitions, à sa carrure ou à ses états de service, sans que cela ne constitue une pression quelconque à l’égard du chef de l’État ».
