En tournée depuis plusieurs jours dans la province du Woleu Ntem, le Rassemblement pour la Patrie et Modernité et son président Alexandre Barro Chambrier, ont eu droit à un accueil digne des grands jours à Bitam. Preuve de l’implantation de cette formation politique dans cette localité.
Alors que s’achève tout doucement la tournée dans le septentrion d’Alexandre Barro Chambrier, le président du Rassemblement pour la Patrie et Modernité, l’étape de Bitam, dans le département du Ntem, restera gravée dans la mémoire des hôtes du jour. En effet, le 07 février dernier, cette localité a constitué l’une des étapes importantes de ce périple Woleu ntemois. C’est par une marée humaine, et dans une ambiance de grands jours qu’Alexandre Barro Chambrier a été accueilli.
A noter que la coordination du périple bitamois a été présidée par le troisième adjoint au maire de la commune de Bitam, Aubin Mbeng, par ailleurs, cadre du
parti. Le magistrat de la ville et les populations ont salué la présence du chef du RPM, sous les vivats chantés en langue locale. Une euphorie qui n’a pas laissé insensible l’hôte du jour et sa délégation, qui ont pu évaluer le niveau de l’implantation de sa formation politique dans ladite localité.
Comme partout où il est passé, Alexandre Barro Chambrier est resté à l’écoute et au contact des populations. Occasion pour les populations d’exprimer à celui dont les ambitions présidentielles deviennent de plus en plus perceptibles leurs difficultés. Parmi lesquelles l’état de la route, qui est profondément dégradée. Cas du village Effack Bibè, où la délégation du PRM a eu toutes les difficultés du monde pour y avoir accès, surtout que la pluie était déjà passée par là.
Les conditions de vie des populations sont l’une des raisons de la continuité du combat pour l’instauration de l’alternance au Gabon, a expliqué Alexandre Barro Chambrier. « C’est pour ces raisons que notre lutte politique est décuplée. 12 ans après, on n’est pas parvenu à bitumer le tronçon pk68-pk80, ce n’est pas sur ces gens que doit reposer notre espoir pour améliorer ces conditions de vie », s’est indigné ABC.