Aux auteurs de fake news sur le Cercle des libéraux réformateurs, le parti de Jean Boniface Assélé, par la voix de son secrétaire général, a réagi et annoncé des poursuites judiciaires. Jean Claude Boussamba affirme pour sa part que ces informations sur les récentes exclusions définitives qui ont circulé sur la toile sont fausses. Selon lui, elles visent d’autres objectifs, notamment la déstabilisation du parti.
Qui veut déstabiliser le Cercles des libéraux réformateurs ? Cette question est au centre des débats entre cadres de ce parti et même dans la presse. Surtout, depuis que des informations circulent dans la toile. Les dernières en date, sont celles faisant allusion aux exclusions définitives du délégué général, Nicole Assélé et de son adjoint Alexandre Désiré Tapoyo. Si dans la presse, l’information a été prise au sérieux et traitée, du coté des cadres de cette formation politique, il est plutôt fait allusion des fake news, avec pour ambition de nuire cette formation politique chère au président général d’armée à la retraite, Jean Boniface Assélé.
Dans un communiqué publié et signé par Nicole Assélé, sur l’exclusion supposée d’Alexandre Désiré Tapoyo, le DG du CLR, fait état de l’ l’opprobre dans la gestion de ce parti en proie aux tensions internes depuis quelques semaines». Avant d’ajouter que « L’article 31 des statuts modifiés cité dans cette décision dispose dans son alinéa 2 que : face à toute violation grave des statuts et du règlement intérieur, ou à toute menace à l’intégrité et à l’unité du parti, constatées par au moins deux tiers (2/3) de ses membres, le Conseil politique peut prendre toute mesure conservatoire».
Malgré ce rappel à l’ordre, »Ya Nicole », les auteurs de ces cabales ne se sont pas arrêtés là. Jeudi 10 septembre dernier, une autre décision a circulé sur la toile. Celle-ci fait était de l’exclusion définitive du DG du parti, elle-même Nicole Assélé et signée de Jean Boniface Assélé, le président du conseil politique et par ailleurs père de Nicole. Une fake news de trop qui a suscité la réaction du secrétaire général de cette formation politique. Jean Claude Boussamba, a d’abord, comme l’a fait avant lui Nicole Assélé, indiqué que ces informations sont fausses. Selon lui, elles visent d’autres objectifs: la déstabilisation de ce parti. Aux auteurs de cette cabale sur les réseaux sociaux, le secrétaire général a annoncé les poursuites judiciaires. « Face à cette opération conduite à des fins inavouées et visant singulièrement à semer la discorde entre le fondateur et le directoire de notre Parti, mais aussi parmi les militants, le CLR se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires ou toute autre démarche en réparation aux fins d’appréhender et mettre hors d’état de nuire les différents responsables de cette cabale aux ramifications dorénavant connues».
Mais pour beaucoup d’observateurs, seule la réaction de Jean Boniface Assélé pourrait éclairer l’opinion et mettre fin à cette confusion.