Entre 1989 et 2011, L’UPG marque l’univers politique du Gabon. À sa tête se trouve le charismatique Pierre MAMBOUNDOU. Il va s’en dire que tout au long de cette opposition, se trouve un jeune militant aussi charismatique que son leader qui travaille et s’affirme dans l’ombre. Il anime le parti, fait de l’entrisme, milite activement, encadre les militants, enseigne les valeurs, enseigne la morale publique, crée les activités extrapolitiques et développe tout ce qui contribue au bien-être social. Cet homme c’est le secrétaire général de L’UPG, j’ai cité : Richard Moulomba Mombo.
En consacrant sa vie dans l’Union du Peuple Gabonais, Richard Moulomba Mombo fait dans l’activisme politique, se démarque des opposants du ventre et s’impose comme un leader digne et sérieux avec lequel il faut composer. L’UPG est forgé et élevé à l’école de Pierre MAMBOUNDOU : le personnage à lui seul incarne une institution, une doctrine, une philosophie. C’est cela être un chef charismatique qui a l’ambition de diriger une République. L’UPG à lui seul incarne le dynamisme, la puissance des idées et les valeurs du changement.
La force du L’UPG repose sur son secrétaire général et la qualité des militants envoutés par l’esprit du changement. Un changement qui se fait, se cherche encore et toujours. Un changement qui se prépare dans les urnes avec des acteurs à la carrure de Richard Moulomba Mombo. La puissance politique de L’UPG repose sur le leader Pierre MAMBOUNDOU. Le rayonnement du Président va connaître des hauts et des bas. Un rayonnement qui va virer du mauvais côté d’après les sensibilités de chacun. N’est-ce pas là les signaux de faiblesse, de trahison, de modération ou de négociation ? Ce leader surprend tout le monde par la prise d’une décision étonnante. Cette décision va préparer l’éclatement de L’UPG considéré comme un parti exemplaire, déterminé à changer le système et à conquérir le pouvoir.
S’agissant des activités politiques, le Président de L’UPG fait la pédagogie de la paix et du vivre ensemble. Dans cette pédagogie, il conscientise le peuple à faire preuve de sagesse, de bon sens, de droiture, de savoir-vivre, de savoir-être, de se rendre utile, de vivre en symbiose, de raffiner les manières, de se comporter en civilisé, de se soumettre à la loi et de se conduire en bon citoyen. Il prône une société de justice, d’équilibre, de valeurs, d’effort, de travail et d’égalité de chance. Une société qui fait bon vivre où les valeurs de bienfaisance, de bienveillance, de construction, de progrès, d’unification, de collectivité, de respect de droit et de la dignité humaine, des valeurs sociétales et d’un vrai État de Droit sont au rendez-vous. Le Président de L’UPG réclame la bonne gouvernance, la démocratie, l’alternance du pouvoir, la transparence des élections et la démocratisation des institutions. Il soutient une politique de radicalisme, de résistance, de changement, de partage, d’infrastructure, de structure, d’investissement, de salubrité, d’épargne, de logements sociaux, d’urbanisation, d’intégration, de programmes, de vision, de réalisation ou une société à la grandeur démocratique.
Comment l’UPG s’active à l’intérieur du parti ?
À l’intérieur de L’UPG, c’est le secrétaire général qui fait vivre le parti. Il anime les activités politiques et citoyennes , engage les initiatives, décide des orientations et des stratégies, recherche ce qu’il y a de mieux, coordonne les activités électives, instruit sur la dynamique du parti, adapte les choses à la réalité politique, entreprend ce qui est lucratif, relativise les débats, discute de l’important et du nécessaire, initie des réformes et des activités pour les besoins du parti. Dans cette vision politique, Richard MOULOMBA MOMBO élève et modernise L’UPG. En tant que secrétaire général du parti, il a la lourde mission d’animer, de réformer, d’informer et de former. Car il ne suffit pas que de critiquer ou de faire le contrepoids mais de s’investir et de proposer des schémas de redressement, etc… Il est nécessaire pour un secrétaire général de transmettre les valeurs sociétales et républicaines aux militants, adhérents, sympathisants, citoyens et au peuple.
Au cours de son activisme, il entretient des rapports respectueux, conscientise les nouvelles recrues, persuade les indécis, éduque les militants, entretient l’auditoire, popularise ses idées, partage ses principes, harangue les foules, évite la rhétorique du sophisme, manie l’art de la conviction et enseigne sur le comportement du militant avant et après les élections. Face à cette réalité, comment peut-on laisser dans l’ombre la trace d’un tel génie politique ? L’Histoire politique du Gabon se fait en plusieurs étapes. Comme étapes politiques à retenir, on a quelque chose qui donne ceci : colonisateur =>Léon MBA (1960-1967) => Omar BONGO ONDIMBA (1967-2008) => Ali BONGO ONDIMBA (2009 à nos jours). Partir d’une colonie indigène à un territoire, d’un territoire à une République autonome, d’une République autonome à un Pays indépendant, c’est partir d’une étape à une autre. Et cette transposition impose l’art de conduire des nouvelles âmes citoyennes. Des âmes citoyennes qu’il faut sensibiliser, en faire des modèles ou des citoyens adaptés aux valeurs républicaines.
En 2008, L’UPG signe un accord de partenariat avec le PDG (Parti Démocratique Gabonais). Un partenariat qui ouvre la porte aux profito-situationnistes. Au sortir de ce partenariat, les militants et les hauts cadres de L’UPG manifestent leur refus. Chemin faisant, on assiste au spectacle des nominations et élévations en dignité. Comment comprendre que les militants en disgrâce, en désaccord, exclus et en contradiction avec le Président Pierre MAMBOUNDOU sont hissés au haut commandement ou à la plus haute chefferie ? Mais un seul militant est resté intact, propre, intraitable et ayant encore une odeur de sainteté : c’est Richard MOULOMBA MOMBO.
Ces nominations contraires aux idéaux du Président bouleversent les habitudes politiques, créent le désordre, accélèrent la méfiance, favorisent les dispersions et font voler en éclat le parti. Après la mort du Président de L’UPG, les hauts cadres sont en guerre de succession et se livrent aux règlements de compte. Déçu par les dérapages et la trahison des principes du parti, Richard MOULOMBA MOMBO crée son parti politique : L’Alliance pour la Renaissance Nationale, en sigle, l’ARENA. Dans L’ARENA, le Président Richard MOULOMBA MOMBA s’active politiquement, joue les têtus, reste fidèle à son idéologie et à ses principes encadrés par le radicalisme. Son engagement politique est inébranlable et reste irréprochable. Mais en tant que citoyen, il a le droit de participer activement au développement de son pays.
Avant de clore ce débat, qu’il me soit permis de faire cette digression:
- Je suis les larmes qui pleurent Henriette MITCHIMBA ;
- Je suis les larmes qui pleurent Pascal TONDA ;
- Je suis les larmes qui pleurent Jean-Didier TONDA ;
- Je suis les larmes qui pleurent KANGA TONDA Marie- Colombe ;
- Je suis le fleuve BOUMI qui inspire la plume de M’BIGOU ;
- Je suis la plume de M’BIGOU qui communique avec Lédoume;
- Je suis Lédoume, parce que prenant mes racines maternelles ;
- Je suis le Gabon qui pleure et dénonce ;
- Je suis témoin de mon temps ;
- Je suis l’engagé de la cause ;
- Je suis celui qui cherche la vérité et la justice.
Guy Fernand TONDA
Grand Maitre des Académies de l’Esprit
Grand Maitre des Écoles Pédagogiques
Spécialiste des Civilisations avancées
Spécialiste en Dynamique des Peuples
Diplômé de l’École Normale Supérieure de Libreville (E.N.S)
Tél : 074.12.82.48/ 065.77.17.27