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Référendum : Réagir opte pour une caravane constitutionnelle

Si ce parti s’est dit favorable au texte de la futur Loi fondamentale qui sera présenté au peuple par voie référendaire le 16 novembre prochain, Réagir entend faire campagne sous le modèle d’une caravane conditionnelle qui sera lancée le 06 novembre. Ainsi, pour donner les raisons de soutien à ce projet constitutionnel, Réagir entend faire du porte à porte; organiser des conférences débats et autres séminaires pour mieux développer les différents articles de ce texte.

Le vendredi 01 novembre dernier, le parti Réagir a organisé une rencontre citoyenne à Libreville. Objectif de cette rencontre présidée par son nouveau président intérimaire, Persis Lionel Essono Ondo et à laquelle prenait par le président statutaire de cette formation politique, François Ndong Obiang: annoncer le lancement de la caravane constitutionnelle pour le futur référendum dont la campagne s’ouvre le 06 novembre prochain.

 

©DR

Pour cette caravane constitutionnelle,  Réagir s’engage à vulgariser et à expliquer le contenu de la réforme. Pour le lancement officiel de cette caravane qui va s’étendre dans tout le pays, une conférence débat sera organisée dans l’enceinte de l’université Omar Bongo. Cette caravane constitutionnelle vise, pour Réagir, à rassembler les Gabonais autour de ce projet de constitution qui sera soumis au peuple le 16 novembre prochain.

« La nouvelle Constitution répond aux aspirations profondes du peuple gabonais en offrant une meilleure représentation des intérêts citoyens et un cadre institutionnel rénové pour accompagner le développement du pays et poser les bases de la restauration des institutions »,  a souligné Persis Lionel Essono Ondo

Pour le parti Réagir, il est temps « d’agir et de réfléchir par nous-mêmes. Le président nous donne l’opportunité de construire notre  pays. Ce texte constitutionnel est excellent. Il pose les jalons de la construction du pays ». C’est pourquoi pour le défendre, Réagir entend aller à la rencontre des gabonais du pays et même ceux de la diaspora.

 

 

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