Déjà visé par deux plaintes avec constitution partie civile, orchestrées par Hervé Patrick Opiangah, le journaliste française, lanceur d’alerte, Romain Molina a été à nouveau visé par une 3eme plainte, dont l’auteur est toujours le patron du club de football gabonais CF Mounana, sur sujet de pédocriminalité, qui ne repose sur aucune « preuve », sinon que de la « diffamation ».
Hervé Patrick Opiangah n’en a pas fini avec le journaliste, lanceur d’alerte Romain Molina. Lequel a à nouveau fait des révélations sur le patron de FC Mounana, au sujet de pédocriminalité ayant conduit plusieurs acteurs du sport au Gabon en prison.
Dans un point de presse le lundi 11 septembre dernier à Libreville, de la voie de son Conseil, Me Gisèle Eyué Bekale, Hervé Patrick Opiangah, fait état d’un « prétendument journaliste d’investigation » qui « a encore brillé dans la médiocrité journalistique ».
Il faut dire que ces nouvelles révélations interviennent, alors que le journaliste est déjà visé par deux plaintes de l’actuel ministre des Mines dans le gouvernement de Transition, avec constitution de partie civile devant le Doyen des juges d’instruction de Paris pour diffamation.
Malgré ces sorties tonitruantes, l’avocate de Mr Opiangah confirme « qu’il finira par répondre de ses actes et tout le monde comprendra en réalité que cet individu fait dans l’esbroufe puisqu’il n’a jamais été au Gabon et ne peut valablement parler d’un pays qu’il ne connaît pas ».
Il faut dire que dans la nouvelle vidéo du journaliste, dont l’avocate a manifesté sa stupéfaction et son indignation, met « directement et personnellement en cause l’honneur et la considération de son client dans des faits de pédocriminalité ».
Pour l’avocate qui voit le nom de son client salit, par ce « journaleux véreux dont le seul but est de discréditer l’honneur d’un homme sont totalement faux et particulièrement malveillants», rappelle que «la propagation publique d’informations diffamatoires particulièrement graves contre l’honneur d’un homme par un non-Gabonais qui prétend être journaliste en méconnaissance totale de la déontologie du journalisme et des lois de la République gabonaise, celles qui protègent la dignité humaine est inadmissible et condamnable».
Dans ce cas de figure, a annoncé l’avocate, son client va utiliser tous les moyens qui se présentent à lui contre Romain Molina, « prétendu journaliste, sinistre personnage, qui confond la médisance, le ragot, le dénigrement, l’atrocité, la calomnie et la nécessaire information du public ».
Remontée, Me Gisèle Eyué Bekalé souligne que « monsieur Romain Molina qui se cache actuellement dans un village en Espagne pour échapper à la justice ne manquera pas d’une manière ou d’une autre de répondre de ses forfaits ».
