Invité par l’association panafricaine » AFRICA GOLDEN » à animer une conférence-débat sur le thème: jeunesse et innovation technologique, enjeux et défis de développement pour l’Afrique, Jean Bedel Mabicka, philosophe, enseignant chercheur, auteurs de plusieurs ouvrages, toutes autant révolutionnaires que les autres et dont les ventes tutoient les étoiles, distribuées par les librairies les plus prestigieuses du monde de la recherche et des sciences. Les œuvres de Jean Bedel Mabicka sont le plus souvent en tête de toutes les ventes du monde scientifique et traduites dans pratiquement toutes les langues de partage scientifique. Il est de très loin, l’africain le plus décerné dans la reconnaissance des ouvrages de recherche.
Par Jean Hilaire Biteghe

C’est en qualité de homme de lumière d’Afrique et du monde, que notre compatriote a été invité et accueilli avec toute l’hospitalité africaine, par les organisateurs, les autorités scientifiques et culturelles du pays du professeur Joseph KIZERBO. Et même le politique a pris sa part de célébration.
Un parfait inconnu sur ses terres.
Le centre national des spectacles et des arts de Ouaga a grouillé de monde pas comme d’habitude ce 28 Novembre 2025 pour venir écouter et échanger avec ce gabonais Savant de rang mondial, presque inconnu en Afrique tout comme il l’est totalement au Gabon, sa terre natale. Jean Bedel Mabicka fait figure de parfait inconnu aux côtés des personnalités politiques, des sportifs et autres personnages de spectacles (musiciens, chanteurs, danseurs), il n’est ni dans l’exhibitionnisme intellectuel qui pourri nos sociétés ni dans le ‘’bling-bling’’ qui rythme le quotidien des jouisseurs sans vergogne. Il est tellement absent des lambris et autres marocains du continent qu’il devient presque transparent, très peu de personnes peuvent mettre soit un nom sur son visage ou encore un visage sur son nom, son illustre NOM.
Et pourtant, Jean Bedel Mabicka est celui-là qui est reconnu, admiré et respecter par la communauté scientifique internationale comme le savant du 21e siècle. Il est celui que la société scientifique internationale affiche et compare à Emmanuel Kant, Nietzsche, John Stuart, Arthur Schopenhauer, Karl Poppers etc, ces grandes figures occidentales de la philosophie. Il est aussi comparé à Albert Einstein ( le gabonais est reconnu comme celui qui a évoqué et prouvé que le très célèbre Einstein a plagié les découvertes scientifiques qui ont fait sa célébrité concernant la théorie de la relativité restreinte et la théorie de la relativité générale et même la très célèbre équation E= mc2 ) et Max BORN, les deux prix Nobel de physique.
Un gabonais parmi les deux noirs au monde…
Jean Bedel Mabicka serait-il ce compatriote, après bien d’autres ( Donatien Mavoungou, professeur Pyebi, professeur Alain Ondo, professeur Gassita…) que le monde décisionnel immature de son pays s’efforce à mettre sous l’éteignoir pour ne point faire briller le Gabon ? Ce cerveau finira, si l’on n’y prend garde, par répondre aux appels fréquents et incessants d’autres États plus conscients, au changement de nationalité du philosophe Savant. Jean Bedel Mabicka devrait être pour le Gabon, l’instrument de tutoiement du Gabon, face aux nations dites de lumière et de concurrence sur la connaissance dans le monde. Jean Bedel Mabicka, au risque d’être l’éclairage que les aveugles choisissent de mettre sous le boisseau dans une caverne mal éclairée, choisira peut-être de changer de cieux.
Comment expliquer qu’un pays, mal développé peut royalement ignorer ses lumières. Jean Bedel Mabicka, le scientifique le plus prolifique en matière de production et de vente d’œuvres scientifiques au monde aujourd’hui, tout comme il est de loin l’africain qui a atteint ce niveau de notoriété faisant ainsi partie des deux (2) personnalités noires dans la librairie américaine la plus prestigieuse, avec Michèle Obama, l’ex première dame des Etats Unis qu’il dépasse d’ailleurs largement sur les ventes selon Thalia, l’une des meilleures institutions de référence mondiale pour les meilleures ventes de livres au niveau mondial.
Les œuvres du Savant d’origine gabonaise, Jean Bedel Mabicka sont traduites en: Moldave, en tchèque, en Sud-coréen, en chinois, en suédois, en anglais, en danois, en russe, en allemand, en italien, en portugais, en espagnol et on vous passe le reste. Jean Bedel Mabicka est incontestablement un leader de cette génération qui flirte avec le sommet de l’excellence en philosophie, histoire et physique, il est la fierté de l’Afrique, de l’homme noir et de la modestie sociale voire sociétale.
Ce gabonais qui a fait ses classes de la petite enfance au supérieur dans son pays le Gabon a, lors du déroulement de ses échanges à Ouagadougou, mis un point qui , pour lui, est vitale pour le développement et l’avenir de la jeunesse africaine à savoir, l’importance de l’implication de la politique dans la confection des programmes scolaires en Afrique tant au niveau du primaire qu’au niveau de l’enseignement supérieur en passant par l’école secondaire.
En effet pour le philosophe chercheur, l’Afrique souffre de l’absence de décision politique, ce qui conduit le continent, pourtant doublement riche de ses matières premières stratégiques immenses et de ses ressources humaines encore plus immenses. Les intellectuels présents à la conférence d’AFRICA GOLDEN ont unanimement reconnu, suite à la vision du Savant que, l’idée même de puissance s’agissant de l’État ne doit pas être prise à la légère. Ceux qui président aux destinées de l’État doivent avant tout, prendre conscience de ce que les hautes charges qu’ils occupent, valent des conjonctures de l’histoire, leur donnent les pleins pouvoirs à leur insu, malheureusement. Pour Jean Bedel Mabicka, ici, point de miracles !
Il suffirait que chaque dirigeant africain, mieux, les dirigeants de tous les pays africains décident de faire le choix de la réorganisation du système d’enseignement et mettent en avant, la quête du savoir en vigueur afin que le continent africain franchisse à pas de géants, tous les obstacles qui obstruent son évolution vers les lendemains meilleurs et ce, de toute urgence.
En toute humilité, c’est surtout à cela que les vrais intellectuels doivent servir : analyser, projeter, croiser, comparer, définir et apporter des solutions. Ce sont les ennemis de l’inertie donc, mieux vaudrait les avoir avec soi que face à soi et ne pas les avoir du tout, est une malédiction. Avis aux détenteurs de pouvoir.

