Le Front Démocratique Socialiste (FDS), dirigé par Me Anges Kévin Nzigou, se positionne comme un acteur clé pour le 1er siège de Komo-Kango, qui englobe le canton de Komo et la commune de Kango. Ce parti, qui fait partie de la galaxie présidentielle, a été dûment enregistré par la commission électorale locale et se prépare à participer aux élections législatives ainsi qu’aux élections locales.
Pour défendre ses couleurs dans le 1er siège du Komo-Kango, le FDS a choisi Paul Nang Obiang, surnommé ‘’Martinez’’, un journaliste formation et cadre aéronautique, qui se présentera comme candidat à la députation. Ce siège est particulièrement symbolique, car il représente le chef-lieu du département dans la province de l’Estuaire. Martinez, jeune et engagé, a déjà une expérience au sein de l’Assemblée nationale en tant qu’attaché parlementaire lors de la 12e législature, ce qui lui a permis de se familiariser avec les enjeux parlementaires.

Ancien chargé de mission politique à la présidence, il a récemment été actif au sein du Collectif des filles et fils du Komo-Kango, un mouvement qui a joué un rôle important lors de la visite du président de la transition à Kango et durant la campagne référendaire et présidentielle. Son parcours s’inscrit dans la continuité des figures politiques influentes de Kango, telles que feu Dr Paulin Obame Nguema et Remy Ossélé Ndong, qui a été son mentor.
Martinez Nang Obiang se positionne comme un candidat sérieux, engagé envers l’avenir de Kango et désireux de poursuivre les initiatives positives de ses prédécesseurs. Il place l’intérêt collectif au-dessus de ses ambitions personnelles, s’alignant sur les valeurs du président Brice-Clotaire Oligui Nguema, notamment l’inclusion, le respect des aînés et le développement de la région du Komo-Kango et du Gabon. En tant que candidat du FDS pour le premier siège de Kango, il s’oppose fermement au mépris, à l’arrogance et à la division au sein de son milieu politique.
De nombreux observateurs le considèrent comme le leader dont Kango a besoin, comme en témoignent les comités de soutien qui émergent spontanément dans la région, animés par des citoyens authentiques désireux de promouvoir les valeurs kangolaises.