Soucieux du bien-être des populations de Cocobeach, Brice Clotaire Oligui Nguema avait lancé plusieurs chantiers visant la modernisation de cette localité de la province de l’Estuaire. Le 1er juin, en bon chef de chantier, il s’est rendu dans cette localité de la Noya pour s’enquérir de l’avancement des projets d’infrastructures en cours.
Par Sydney Nkwele
L’objectif de cette visite de chantier, constater l’état d’avancement des travaux destinés à améliorer significativement les conditions de vie des populations locales. En effet, il y a plusieurs mois, Oligui Nguema lançait plusieurs chantiers visant à améliorer les conditions de vie des populations de Cocobeach, en plus d’impulser une dynamique de développement dans cette localité du département de la Noya, une initiative qui d’ailleurs avait été largement saluée par les populations de Cocobeach.
Dimanche 1er juin dernier, le numéro 1 Gabonais a visité et constaté le niveau d’avancement des travaux. C’était en présence des responsables des chantiers : Voiries urbaines, construction du futur état-major de la marine nationale, livraison du chantier de la station-service, chantier du Centre d’appui à la pêche artisanale de Cocobeach (CAPAC), construction d’une boulangerie municipale. Selon la ministre de la Mer, Laurence Ndong, également porte parole du gouvernement. « Il est prévu des brigades communes entre le ministère de la Mer, de la Pêche et de l’Économie bleue, les Eaux et Forêts, la Gendarmerie nationale jusqu’à 12 000 nautiques, et au-delà, la Marine nationale, car chacun a un pan de surveillance ».
Parmi tous ces chantiers en cours à Cocobeach, deux sont déjà entièrement achevés. Il s’agit des travaux de modernisation du Centre d’appui à la pêche artisanale de Cocobeach (CAPAC) et la construction de la station-service. D’ailleurs, depuis le 13 mai dernier, la station-service est opérationnelle. Ce qui met fin à une longue attente et aux pénuries de carburant dans la localité de la province de l’Estuaire. « Les populations de Cocobeach s’approvisionnaient jusque-là à Ntoum, via des prestataires informels qui ne respectaient pas la structure des prix », renseignait Renée Patricia Ku-Kumbe Ivigu, la directrice générale de Gab Oil.