Construit il y a plusieurs décennies, ce temple de l’Eglise catholique, l’une des plus importantes du Gabon, ferme temporairement ses portes aux activités religieuses. L’annonce a été faite il y a quelques jours, par le l’abbé Jean Davy Ndanga Mbome Ndong. Le prêtre qui évoque une décision douloureuse, mais nécessaire à raison de l’état de son plafond actuellement en décrépitude très avancé.
Les fidèles de la Cathédrale Sainte Marie de Libreville vont devoir, le temps des travaux, trouver d’autres Temples de l’Eglise catholique pour mener leurs activités religieuses. Le 17 mai dernier, une décision de fermeture temporaire a été prise et annoncée par l’abbé, Jean Davy Ndanga Mbome Ndong. Selon l’homme de Dieu, «l’état préoccupant du plafond de l’édifice, dont une partie menace aujourd’hui de céder ». Il représente alors un : «danger imminent, représentant un risque réel pour la sécurité des fidèles et des visiteurs».
Construite il y a plusieurs décennies, précisément en 1958, Notre dame de l’Assomption, est l’une des Eglises catholiques les plus importantes et visitées au Gabon. Non loin de là, réside, l’archevêché métropolitain de Libreville. Si la décision de fermer temporairement cette grande église représente une mesure douloureuse, c’est qu’en plus des activités religieuses qui y sont menées, elle est régulièrement visitée par de nombreux touristes nationaux et étrangers.
Durant le temps des travaux, les fidèles peuvent toutefois se rendre à l’ancienne cathédrale, « Notre-Dame des Neiges » qui a été construite en 1864, « et située dans la cour principale du presbytère, et en semaine, dans la grotte mariale».
Les fidèles espèrent un retour rapide de cette vieille cathédrale, malgré le fait de la non-annonce de la durée des travaux.