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1er Gouvernement de la Ve République : Oyima, un homme rompu à la tâche

 Acteur majeur dans le milieu de la finance, Henri Claude Oyima, le natif de Franceville dans le Haut -Ogooué a été propulsé à la tête de l’hyperpuissant ministère de l’Economie, des Finances, des Participations, de la Dette, du Budget et de la Lutte contre la pauvreté, lors de la mise en place du 1er gouvernement de la Ve République. Portrait.

Par Sydney Nkwele

C’est au pays de l’oncle Sam qu’Henri Claude Oyima obtient la majorité de ses diplômes. C’est fort d’un parcours scolaire et universitaire exemplaire sanctionné par un Baccalauréat série B obtenu au U.S.A au Lycée Français de WASHINGTON DC en 1978.  En 1981, il obtient un Bachelor of Science in business Administration-USA, option Finance et économie d’entreprise à l’AMERICAN UNIVERSITY, WASHINGTON, DC, un an plus tard, il décroche un Master of Art in Development Banking dans la même université.

Pour ce qui est de son expérience professionnelle, le magnat de la finance a été stagiaire à Citibank New-York en 1982, en 1983 il est nommé directeur général adjoint de Paribas Gabon et en 1985, il en devient directeur général. En 1986, il intègre le ministère de l’Economie et des Finances en tant qu’Inspecteur général des finances, cette même année il devient Administrateur directeur général de Paribas Gabon. Et de 1996 à 2012 il a été successivement, Administrateur directeur général de BGFIBank, président des sociétés du groupe et président directeur général.

Dans le privé, il occupait plusieurs fonctions dans le monde bancaire et assurance dont :  directeur général du Groupe BGFIBank, président des sociétés du Groupe BGFIBank, président du Conseil d’Administration des sociétés OGAR/OGARVIE, président du Conseil d’Administration de la Bourse des Valeurs Mobilières de l’Afrique Centrale (BVMAC), président de la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG) et président de l’Institut Gabonais des Administrateurs (IGA).

C’est dire si le choix porté sur sa personne n’est pas le casting idéal pour la bonne marche de l’économie gabonaise.

 

 

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