Les populations de la Commune de Libreville, précisément celles du deuxième arrondissement associée à la coordination du mouvement associatif Ossimane ont récemment, dans un point de presse, félicité le Comité de la Transition pour la Restauration des Institutions (CTRI), en particulier le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, d’avoir doté la capitale politique gabonaise d’une cité administrative.
Baptisée du nom d’une pierre précieuse qui symbolise le renouveau et l’espoir, les populations du deuxième arrondissement et la coordination du mouvement associatif Ossimane ont reconnu que « le nom Émeraude que porte ce joyaux architectural dans notre capitale ne relève pas du hasard »
Pour eux, la cité Émeraude symbolise l’espoir emmené par les militaires depuis le début de la Transition. « Oui c’est un nouvel espoir qui renaît depuis la période de la transition » reconnaissent-ils.
Située sur l’ancien site de la mairie du deuxième arrondissement au boulevard Bessieux, la cité Émeraude sera composée de 14 immeubles modernes, ce qui aidera l’État à réaliser des milliards d’économies en permettant aux différents ministères locataires et autres administrations publiques de disposer leurs propres locaux.
Une analyse que n’a pas manqué de faire les populations du deuxième arrondissement de Libreville au côté de la coordination de l’association Ossimane, mettant ainsi en exergue le côté pragmatique du CTRI dans la réalisation des projets d’envergure. « Cela vise à mettre un terme définitif aux baux administratifs pour enfin loger les services de l’État .ce projet d’envergure permet de développer le patrimoine de l’État et de réaliser des économies d’échelle de 39 milliard par an. » ont-ils fait observer, à travers leur porte-parole Richard Obiang Ava. Reconnaissant ainsi qu’« avec le CTRI, c’est de la maquette à la réalité » et qu’« avec le CTRI, l’État gabonais passe d’éternel locataire à désormais propriétaire »
Reconnaissant l’esprit de bâtisseur qui anime le président la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema, les populations du deuxième arrondissement et la coordination d’Ossimane ont sollicité la construction de la mairie de leur arrondissement, la construction d’un centre de santé PMI, d’un établissement secondaire public et l’aménagement de certaines voies secondaires de leur arrondissement.
