Ouvrant sa campagne référendaire dans le deuxième arrondissement et, surtout, pour le Oui par une messe d’action de grâce à l’église Saint Michel de Nkembo, Ossimane, du moins sa coordination du deuxième arrondissement de Libreville, a choisi de mettre Dieu au centre pendant tout le temps de la campagne.
Apres des rencontres citoyennes et de sensibilisation sur le référendum et tous ses critères, place désormais à la campagne. Ce vendredi 08 novembre Ossimane coordination du deuxieme arrondissement de Libreville a ouvert cette campagne par une messe d’action de grâce à l’église Saint Michel de Libreville. S’il n’y a pas de candidats pour ce scrutin, il y a au moins deux bulletins de côté: Oui et non. En mettant Dieu au centre de sa campagne, Ossimane section du deuxième arrondissement veut absolument que ses échanges avec les populations se déroulent dans la tranquillité et dans la paix.
Mais surtout que les populations de cet arrondissement aillent massivement voter et pour le Oui. « Dans ce vote, seule l’abstention est notre ennemie », précise cette association.
C’est pourquoi, lors de son point de presse de ce 8 novembre, au quartier les Cocotiers, Richard Obiang Ava, coordonnateur général de cette plateforme associative dans cet arrondissement, est revenu sur le déroulement de cette campagne dans le deuxième arrondissement de Libreville. Ainsi que Suzie Biyoghe et Stéphanie Ondong qui ont édifié les populations sur cette élection référendaire et sur l’abstention. « Nous allons faire une campagne de proximité, du porte à porte. Mais surtout, nous allons faire la promotion du Oui, en expliquant les différents articles de ce texte qui est actuellement proposé au peuple. Notre slogan est Abstention 0 et vote du Oui 100 % ».
La méthode Ossimane lors de cette campagne référendaire, s’articule sur le porte à porte et sur les causeries spécifiques.
« Nous allons faire de la pédagogie de proximité auprès de nos populations et dans les ménages. Pourquoi il faut voter pour le Oui ? Quels sont les enjeux de ce referendum ou de la future Loi fondamentale ? »