L’option d’ériger le stade d’Oyem en un centre technique permettrait de désenclaver la zone du stade et ses environs
Un modèle à » la Clairefontaine » dans les Yvelines serait plus attractif et productif.
Par Jim Ndong
Constat
Jadis construit à l’occasion de la coupe d’Afrique 2017, tout comme d’ailleurs le stade de Port gentil, le stade d’Oyem, n’a jamais véritablement existé en termes d’activités et de loisirs, du fait d’un manque de projections, de prévisions après Can de la part des pouvoirs publics. Conséquences directes : morosité et dégradation des infrastructures, isolation de
l’endroit…Le peu d’ambition exprimée sur ce site, pourtant un bijou architectural ultra moderne interpelle plus d’un.
Toutefois, pourquoi ne pas transformer cette zone en centre technique national ?
Perspectives
Comment faire renaître le stade d’Oyem de ses cendres ?
L’attractivité de la zone du stade d’Oyem pourrait passer par la mise en place d’un centre technique national. Ce centre peut alors abriter un institut national de formation dans les disciplines du sport (football, Basket, karaté, judo, tennis…). Il faudrait alors créer d’autres installations sportives, mais également disposer des installations médicales, les salles de rééducation, des restaurants, la mise des hébergements (modèle village olympique). Enfin, mettre en place un village artisanal: zone d’exposition des maillots, des livres historiques, de matchs, de dégustation…
Consultant au laboratoire citoyen Gabonais
