Alors que l’entité avait été dissoute il y a près de 5 ans aujourd’hui, les agents déclarées continuent de dénoncer des vices de forme et autres contorsions de procédures dans le cadre de cette liquidation. Toute chose ayant pour conséquence, soulignent les déflatés de l’ex-Haute Autorité de la sûreté et de la facilitation de l’aéroport Léon Mba (Hasfalm), un calcul biaisé de l’indemnité compensatrice, des congés payés, et de l’ancienneté, entre autres.
On en a pas fini avec les agents déflatés de l’ex-Haute Autorité de la sûreté et de la facilitation de l’aéroport Léon Mba (Hasfalm), dissoute il y a plusieurs années, aujourd’hui. Rencontrés par notre rédaction, les déflatés de cette entité, dénoncent des vices de forme et autres contorsions de procédure dans le cadre de cette liquidation. Pour les agents, le liquidateur initial n’aurait pas respecté plusieurs procédures. Toute chose ayant privé plusieurs agents déflatés, le droit de l’entièreté de leurs droits légaux selon les dispositions de la loi en la matière.
Pour eux, le liquidateur n’aurait pas pris en compte les calculs effectués par un cabinet privé. D’ailleurs, toujours selon les agents, lors des entretiens avec le liquidateur et le collectif, le premier cité, avait laissé entendre que : » Nourredine Bongo Ondimba a dit que dans le cadre de cette liquidation de l’ex-Haute Autorité, l’indemnité compensatrice prévue d’être calculée sur 12 mois, soit 1 an, ne le sera plus que sur 3 mois ».
Une information qui a surpris désagréablement les agents, se demandant de connaître l’intérêt de l’ancien coordonnateur général des affaires présidentielles dans ce dossier.
Ce n’est pas tout. A côté de cette incongruité, il y a, notent les déflatés, le refus par le liquidateur de faire intervenir, à la demande des agents, les inspecteurs de travail dans le calcul de solde de tout compte des agents.
Pour les agents, la gestion de la liquidation de l’ex-Haute Autorité le liquidateur, a connu une sorte d’omerta sur certaines informations qui, si elles avaient été mises à la disposition du collectif, auraient permis le paiement dans les normes des droits légaux à ces compatriotes.
Face à une situation qu’ils qualifient de flou et injuste, les déflatés appellent le Comité pour la transition et la restauration des institutions à la rescousse.