Le parti démocratique gabonais (P.D.G) comme personne morale ne peut être éteint, du moins ce sera très difficile. Chaque entité à ce qu’on appelle les gènes et c’est seulement l’antidote de ces gènes qui doit être distillé à l’échelle nationale pour venir à bout des comportements ataviques, vieux clichés et autres qui sont entrain de polluer l’atmosphère politique dans notre pays. Ils(pédégistes) sont nombreux, je dirais même plus, très nombreux donc difficiles à traiter.
Dissoudre le PDG n’est pas une bonne solution et ça ne changera rien dans le fond. Ils vont tous se cantonner derrière le plus offrant, et comme sous les tropiques, personne ne poursuit et ne défend une idéologie. Seuls les intérêts comptent dans cet environnement de « démocratie » émotive.
Si le PDG venait à disparaitre par coup de baguette magique, il continuera à exister dans le subconscient de nombre de citoyens et cela se traduira par des comportements blâmables que nous connaissons tous : faire allégeance au plus offrant pour espérer obtenir quelque chose en retour. Non sans tenter de faire le vide autour de la nouvelle « proie ».
Le PDG mourir ? Comment y arriver ?
Si tel est que le PDG est un état d’esprit, il ne mourra pas, quelles que soient les bonnes volontés.
Après la transition, s’il advenait que l’actuel chef de l’état créé son parti ou décide d’adhérer à un parti qui existe déjà, tous les pédégistes du « monde entier » vont y adhérer, sans demander leurs restes. Au nom de ce que nous avons dit plus haut.
Nna Émane Clair de Feuk-Solé.