En attente depuis un plus de deux ans, le récépissé définitif du Rassemblement pour la patrie et la modernité a été récemment délivré par les autorités du ministère de l’Intérieur. Une initiative qui vient mettre fin au litige qui opposait jusque-là, Michel Menga m’Esonne, qui reste désormais patron du Rassemblement Héritage et Modernité et Hugues Alexandre Barro Chambrier, président du RPM.
Actuellement en tournée politique dans plusieurs quartiers de Libreville, Alexandre Barro Chambrier vient d’ajouter une corde à son arc. Son parti a récemment reçu une bonne nouvelle. Son récépissé définitif lui a été délivré par les autorités du ministère de l’Intérieur.
Toute chose qui vient mettre fin au débat sur la paternité de cette formation politique. Faut-il le rappeler, à la suite de l’entée au gouvernement de Michel Menga, Alexandre Barro Chambrier avait organisé un changement de dénomination du parti. Toute chose qui avait occasionné un litige des deux acteurs politiques, se réclamant de l’opposition.
Trois ans après, l’arbitre qu’est le ministère de l’Intérieur vient de trancher, en reconnaissant définitivement le RPM comme parti politique, tout comme le RHM. En un mot, ces deux formations politiques deviennent des entités bien différentes.
Pour Alexandre Barro Chambrier, « il s’agit de la conclusion d’une longue et difficile procédure qui aboutit aujourd’hui à la reconnaissance officielle de notre formation politique ». Lequel, profitant de cette circonstance, a appelé à la mobilisation des militantes et militants du RPM, pour en faire « un puissant instrument au service de la lutte pour le changement et l’alternance dans notre pays».
Ainsi, pour les prochaines échéances à venir, cette formation politique pourra présenter des candidats estampillés Rassemblement pour la Patrie et la Modernité.
