Candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle, Mike Jocktane a, dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, le 08 mars, visité plusieurs marchés du Grand Libreville. Échangeant avec les commerçantes, le président-leader du Gabon Nouveau a dit vouloir œuvrer pour la promotion entrepreneuriale des femmes.
Célébrée chaque 08 mars, le Gabon, à l’instar de la communauté internationale, a célébré la journée internationale des droits des femmes. Profitant de la circonstance, Mike Jocktane, candidat à la prochaine élection présidentielle, a visité quelques marchés du Grand Libreville, notamment, à Akanda et au PK8.
Là-bas, le président-leader du Gabon Nouveau a émis le souhait d’œuvrer pour « la promotion entrepreneuriale des femmes ». Non sans indiquer, mettre son
implication pour l’amélioration de leurs conditions de travail.
Concernant les droits des femmes, l’homme politique a
partagé son opinion à propos de la « promotion du genre et de la question sur les violences faites aux femmes ». A ce sujet d’ailleurs, pour Mike Jocktane, la construction de logements sociaux est primordiale, pour « les protéger de leurs bourreaux ». Comme il est également « nécessaire de mettre en place des structures spécialisées pour ces femmes : dispositifs d’écoute psychologique, assistance sociale, dispensaires pouvant prodiguer des soins médicaux appropriés », a-t-il laissé entendre
Il a rappelé « la nécessité de lutter et de prévenir contre certaines maladies féminines, et de mettre un accent particulier sur l’importance de l’éducation et d’une insertion professionnelle de qualité de la femme gabonaise, et enfin d’encourager l’entrepreneuriat chez la femme gabonaise ».
Ce n’est pas tout. Sur le plan social, a-t-il indiqué, vouloir mettre en place, une « subvention ou allocation pour les femmes les plus démunies et les sans emplois ».
Sur le plan juridique « mettre en place une politique de tolérance zéro et dissuasive sanctionnant de manière intransigeante les auteurs de ces violences (augmentation des peines, généralisation de la procédure de comparution immédiate, mesures d’éloignement du conjoint violent, attribution du domicile conjugal à la victime) ».
La randonnée a continué à SOS Mwanas, un orphelinat de Libreville, situé dans le troisième arrondissement, où un don, essentiellement composé de vivres achetés sur les étales visitées, a été remis aux responsables de la structure.