Nommé en conseil des ministres du 29 avril 2021, animateur émérite, Régis Massimba, a été installé officiellement dans ses nouvelles fonctions de Président du conseil d’administration de l’Institut gabonais de l’Image et du Son (IGIS). La cérémonie qui s’est déroulée le lundi 14 juin dernier, a été présidée par la ministre déléguée auprès du ministre de la communication, Gisèle Akoghe.
Le lundi 14 juin dernier, l’emblématique animateur de la télévision et de la radio et promoteur de l’émission « ça se passe ici », Régis Massimba, a été installé officiellement dans ses fonctions de Président du conseil d’administration de l’Institut gabonais de l’Image et du Son (IGIS). Nommé en conseil des ministres du 29 avril dernier, il a été installé par la ministre déléguée auprès du ministre de la communication, Gisèle Akoghe.
« La réussite se trouve au bout de l’effort », le nouveau PCA en a fait sien cet adage. En effet, c’est l’aboutissement d’une carrière bien remplie pour ce quinquagénaire dont les états de services ne sont plus à présenter.
Régis Massimba cumule plus de 25 ans de service au sein du paysage médiatique Gabon, à Téléafrica, notamment, où il occupe, depuis quelques mois, les fonctions de directeur des programmes. Puis, à la Radio Panafricaine Africa N°1, où il a animé et co-animé plusieurs émissions.
Animateur, présentateur, maître de cérémonie, homme d’affaires dans l’immobilier et acteur de cinéma, le Quizz Master, comme on l’appelle, jouit d’une réputation honorable auprès du public.
Fort de son expérience, l’ancien présentateur vedette et promoteur de l’émission « ça se passe ici » aura la lourde charge de faire du Gabon un modèle en matière de productions et de réalisations cinématographiques.
Créé en 2010, l’Institut Gabonais de l’Image et du Son (IGIS) a pour mission de « développer la production cinématographique et audiovisuelle gabonaise, afin de relever l’un des défis majeurs d’aujourd’hui qui est la protection de son identité culturelle dans un monde globalisé ».
Régis Massimba succède à Imunga Ivanga, une icône de la cinématographie gabonaise qui n’est plus à présenter.
