Appuyés dans cette démarche par la fédération internationale de football association, les patrons des clubs de l’Union des clubs professionnels de football français ont acté le lundi 16 mars dernier une position commune pour la libération de leurs joueurs, devant prendre part aux matchs ayant des enjeux.
Depuis cette communication, c’est la panique dans plusieurs fédérations africaines de football, dont le protocole sanitaire pose toujours problème, et qui du reste, pourraient entre confrontés à plusieurs couacs pour respecter le protocole sanitaire exigé. En effet, dans le cadre de la pandémie du Covid 19 qui continue de
sévir dans le monde, du coté du football, se sont les patrons des clubs de l’Union des clubs professionnels de football français qui ont récemment acté une « position commune pour la libération de leurs joueurs, devant prendre part aux rencontres aux enjeux importants ». Selon l’UCPF, il faut que tous leurs joueurs « bénéficient des mêmes droits et devoirs que les internationaux français ».
Ainsi, les Clubs membres de l’UCFP, s’engagent sur une position commune de libération de leurs joueurs, si le « cadre sanitaire exigé par les instances françaises est respecté par les fédérations de football étrangères ». Sans quoi, indique l’UCFP, les clubs ne libéreront pas leurs joueurs. Une position qui va certainement déplaire à plusieurs fédérations africaines, au moment où plusieurs pays du continent abordent une phase importante des éliminatoires de la Can 2022 au Cameroun.