Depuis le dimanche 7 mars dernier, la circulation sur la voie ferrée est à nouveau perturbée du fait d’un déraillement d’un train minéralier, entre Ndjolé et Abanga, dans la province du Moyen Ogooue.
La direction générale de la Setrag, principale entité de la voie ferrée a informé les voyageurs du train n°733 de son annulation, du fait d’un incident survenu du fait du déraillement d’un train marchandises entre les gares de Ndjolé et Abanga.
Un incident qui a donc occasionné des perturbations sur la voie. En attendant un retour à la normale de la circulation, la Setrag a décidé d’interrompre les trains voyageurs et marchandises, jusqu’à nouvel ordre. Profitant de son communiqué, la Setrag a présenté ses excuses pour le désagrément occasionné.
Bien que n’ayant pas occasionné des pertes en vies humaines, il est à noter que c’est un énième désagrément, parmi tant d’autres en moins ? Des incidents provoqués par l’état dégradation de la voie ferrée. Toute chose qui vient remettre en cause le véritable rôle du gendarme de l’Etat gabonais sur la voie ferrée, à savoir, l’Autorité de régulation des transports ferroviaires.