Jeff Clio Moulengui Mouélé jeune leader politique, pro-Ali, militant PDG, initiateur de la marche du pardon de la jeunesse gabonaise au chef et aux sages de la nation. Dans une tribune récente, celui qui, depuis 2002, milite activement au parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), manifestait son mécontentement suite à la nomination de Marc Logan Tchango au poste de conseiller spécial du président de la République en évoquant l’imméritée de ce dernier et s’insurgeait contre les inégalités faites à l’égard des plus anciens et des plus méritants , vient une fois de plus réagir à l’actualité nonobstant les intrigues de ses adversaires politiques et les tractations qui vont avec.
Dans un premier temps, je tiens à réaffirmer haut et fort à qui veut l’entendre, mon attachement indéfectible à la personne du chef de l’Etat son excellence Ali Bongo Ondimba, le président de la République. Je viens attiser le courage, la confiance et l’audace
chez Ceux qui craignent sans rien dire. Je veux leur rappeler le sens des mots fidélité et loyauté au dessus de la stupeur, de la mal peur et de l’anxiété qui, je le sais, habitent déjà plusieurs de nos camarades « hauts cadres», du fait du silence accablant et très révélateur qui a traditionnellement toujours été le leur en temps nuageux, pour après se montrer les plus dignes.
On le sait, certains font courir des rumeurs folles sur la prétendue mort du président de la République. Beaucoup sont actuellement dans l’épouvante, dans le cauchemar permanent à tel point qu’ils séjournent désormais dans l’anonymat. LOL. À l’opéra des « fidèles soutiens », il n’y a plus personne. Une conduite funeste, qui exalte l’adversaire, ravive les inquiétudes et enthousiasme les traîtres. Pour un homme qui dispose d’autant de soutiens multiformes, l’aphasie serait complice de l’affabulation et de l’hypocrisie. L’inopérante connue de nos responsables sert encore plus que d’habitude à la déstabilisation des troupes et laisse se créer le trouble dans le pays. Cela démontre l’instabilité convictionnelle des mêmes qui, on le sait, n’ont de devoir qu’envers leurs personnes. Moi je dis que c’est dans ces instants, que nous devons confirmer notre attachement au président.
Deuxièmement, je voudrais un temps soit peu répondre aux insinuations imputer à tort à Noureddine Bongo Valentin, des différentes arrestations qui sont en réalité l’émanation de la politique du chef de l’Etat dans la lutte contre l’enrichissement illicite et la corruption dans notre pays. Un plan de guerre offensive à la pauvreté, au chômage et à la précarité. Des sanctions qui sont un moteur de contre-offensive à l’impunité des privilégiés, mais dénaturées par nos adversaires qui les profilent désormais en règlement de comptes. Une pure instrumentalisation qui pousse à travestir la morale et discréditer l’autorité judiciaire suprême du chef de l’Etat. Le coordinateur général des affaires présidentielles a, entre autres, pour engagement, d’incarner l’outil d’éveil au respect de la politique de bonne gouvernance de son excellence Ali Bongo Ondimba.
Ce jeune, il faut le dire, s’est montré intraitable jusqu’ici avec les complaisances d’antan, les malversations et les associations sulfuriques qui ont été la cause de l’échec de beaucoup d’hommes politiques. Il est, à mes yeux, un réel atout de réussite pour le chef de l’Etat et un exemple de probité en politique. Les faits qui témoignent de l’urgence à moraliser la vie politique et démocratique de notre pays, nous indiquent qu’il y’a au débat qui monte, deux forces à l’œuvre auxquelles nous nous refusons: la première nous enfonce dans le marécage du tous pourris ! Et la seconde, celle dont nous nous réclamons, vise à sortir par le haut de cette crise de l’esprit public en faisant évoluer les règles et les comportements de nos responsables. Il a tout mon soutien !
Aussi et enfin, je souhaite attirer l’attention sur ma vision éclairée de la marche du pardon au chef de l’Etat et aux sages de la nation portée par la jeunesse gabonaise, celle que j’ai initié en décembre 2019. En effet, l’atmosphère politique actuelle, ce fort climat de mécontentement souligné par l’ampleur des luttes sociales qui ont d’ailleurs marqué la campagne électorale de 2016 et qui se prolongent depuis lors, est sans équivoque. Je persiste à croire que notre pays se trouve dans une situation où » LE PARDON » est plus que jamais nécessaire tant chez les uns que chez les autres. Une atmosphère où les tensions sont de plus en plus vives, les incompréhensions multiplient les colères, les injustices et les inégalités frustrent encore plus Ceux qui se sentent au départ déjà frustrés. La haine qui se creuse au fur et à mesure que les doutes et les contestations s’installent, une fracture sociale qui ne dit pas son nom, une aspiration à autre chose pour les uns, et une sorte de condamnation à l’immobilisme du conservatisme pour les autres. Le besoin pressant d’inverser les priorités pour faire prévaloir le « changement ».
Les efforts du chef de l’Etat semblent bien insuffisants aux regards de toutes ces récriminations. Saboter un tel projet serait faire preuve d’aveuglement face aux évidences. En même temps la majorité présidentielle est cependant confrontée à une profonde contradiction en interne, qui devient de plus en plus évidente. Le président est pris dans la contradiction qui existe entre sa promesse de changer une réalité faite de conservatisme largement ressentie comme intolérable et son attachement déterminé à une politique qui se verrait nettoyer le sérail. On pèse sur ses choix comme sur ses projets.
Jeff Clio Moulengui Mouélé
Jeune leader politique, pro-Ali, militant PDG, initiateur de la marche du pardon de la jeunesse gabonaise